samedi 26 juin 2010

On ne plaisante pas avec le Texas.

On ne plaisante pas avec le Texas.
C’est sous cette belle devise que nous accueille le plus grand état des usa historiquement connu pour sa débordante ouverture d’esprit, son extrême tolérance et son amour sans limites des étrangers, des zomosessuels des fesses d’où qu’ils viennent pourvu qu’ils soient à franges.






c’est dans ce paradis des pares-buffles que nous arrivons finalement sans peine. (de mort)
Tiens au fait, un peu avant tout ça on a subi notre première arrestation policière pour excès de vitesse ! comme Bill nous avait raconté : tout d’abord sirènes tony-truantes, collage au cul, arrêt des voitures, gros policier à lunettes de soleil et à tête de con, inspection des papiers pendant des plombes comme si il y voyait rien. tout ça pour même pas une petite amende ni même une petite fouille anale! vraiment des bricoleurs ces américains... les flics de Lille sont bien plus marrants! hein Bill?
Nous continuons un poil la route le long de la côte, le paysage change, des vaches a perte de vue et des puits de pétrole .
Arrêt à Houston.

Une grande ville qui parait sans interêt mais qui heureusement nous cache encore des inspirés du bord des routes ! D’abord une petite visite du Orange show de Jeff Mc Kissak, un endroit créé dans les années 50 par un facteur (tiens tiens) passionné, fondu des oranges. Pour lui, les oranges c’est la vie, c’est l’avenir et y’a que ça de vrai. c’est donc un mini parc d’attractions sans attractions ou les murs sont remplis de bons mots sur les oranges. tout cela dans une multitude de formes et de couleurs mais surtout du...orange.









Puis en vlà une qui va plaire à tous nos ami(es) alcooliques, je ne les énumère pas car j’ai un nombre limité de caractères, la «beercan house». Non, ami(e)s, vous ne rêvez pas, cet homme à la retraite a recouvert dans les années 60 sa modeste maison de canettes de bières. autant vous dire l’émotion qui vous submerge et la mousse qui vous monte aux lèvres face à ce monument d’art modeste. c’est indescriptible. Cécile au bord de la route, moi au bord de l’évanouissement nous pénétrons l’établissement pour jouir d’un mini-musée pas dégueulasse. Une petite photo de notre coupable :








à l’époque, il répond à un journaliste qui lui demande pourquoi donc il s’était fait chier à faire un tel bazar : «ben j’avais pas envie de tondre la pelouse». plutot pas mal nan? dans les dents le journaliste! héhéhéhé!
Rien de plus ici. On file à Austin en Chevrolet. ben oui, je sais, c’est po logique.


A Austin, on est logés par 2 étudiants très gentils qui nous acceuillent avec des tacos trèèèèès épiçés. Austin est la ville rebelle du Texas. Ici la populace ne semble pas moulée dans le bronze texan, et c'est tant mieux pour eux.
On va voir Fantastic Mister Fox au cinoche. un ciné du feu de dieu où tu peux commander ta bière et ton burger en placant un petit fanion devant ta place. c'est pas l'amérique ca?


Un peu tristos. on boit de l’eau dans des pots de confiture et on va se coucher. Le lendemain on fait 2 trucs très chouettes : un parc d’Austin avec piscine naturelle à l’eau de source. ca nous rappelle un peu ce que c’est que la fraicheur. bientot plus d’un mois qu’on ne descend pas en dessous de 37 degrés. c’est triste hein?

et puis le soir on part faire chier une des plus grosses colonies de chauve-souris des usa planquée sous un pont. on est pas les seuls a attendre le mythique décollage. c’est impresssionant ce que ca peut faire ces ptites bêtes. Décollage de Austin direction Las Vegas. ca fout les jetons.

1 commentaire:

  1. et ben moi je l'ai vu il y a au moins trois mois à Lille Fantastic M. fox... PÔ la peine de frimer avec tes ptits fanions...

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